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 Jeanne D'Outreleau

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AuteurMessage
Jeanne d'Outreleau
Scotch double face
Jeanne d'Outreleau

Messages : 27
Date d'inscription : 22/01/2014

Jeanne D'Outreleau Empty
MessageSujet: Jeanne D'Outreleau   Jeanne D'Outreleau EmptyDim 2 Fév 2014 - 21:10


   

   
« Regarde toi, regarde un peu comme tu balances... »


   
Identité

   
Nom : D'Outreleau
Prénom : Jeanne
Age : 20 ans, et elle est née le 10 avril.
Famille affiliée : Tresadenn
Métier : Elle n'en a pas.
Situation familiale et sociale : Jeanne a une famille, mais pas réellement de relations familiales. Elle ne sait que dire sur ses parents, ni sur sa sœur parce qu'elle ne les connaît finalement pas vraiment… Elle hésiterait même sur la couleur des yeux de son père, si jamais on lui demandait (Et heureusement que jamais personne ne lui a posé la question jusque là). Elle les cautionne, en tout cas, c'est à peu près tout, elle leur rend visite lorsqu'ils le lui demandent, sourit lorsqu'il le faut, fronce les sourcils si la situation le requiert et ne s'émeut pas devant les grands sourires de sa petite sœur dès lors que Jeanne fait son entrée dans la pièce.

En vérité, sa famille l'étouffe beaucoup, et c'est pour cette raison qu'elle tente d'en rester éloignée le plus possible. Ses parents, fervents défenseurs de la domination des Familles sur les Profanes, et en particulier celle de Tresadenn sur toutes les autres, s'il fallait là encore rajouter une hiérarchie, font partie du cercle fermé d'amis d'Apolline Tresadenn, la descendante directe de la Famille qui devrait, selon eux, être la plus respectée. Au départ, Jeanne se rangea à leurs côtés, évidemment, parce qu'éduquée pour être rangée de ce côté. La suite fut assez logique, elle vécut une crise d'adolescence plutôt compliquée à gérer, apprit à ne plus être le pantin de ses parents et à réfléchir par elle-même, et réussit même à se convaincre que ce n'était pas grave tant qu'ils n'étaient pas au courant. Malheureusement pour elle, sa petite soeur, Victoria D'Outreleau semble suivre le même chemin qu'elle, et, même s'il est clair qu'elle n'en a pas conscience et qu'elle tente juste d'approcher, de connaître et d'apprivoiser Jeanne, la cadette fait tomber tous les masques autour d'elle. À croire que le spectacle risque de vite se terminer, mais l'aînée tient bon.

   


   
Son corps

   
Tout en elle semble vouloir être agréable aux autres. Très souvent, ses lèvres s'agrandissent pour sourire et deux fossettes aux joues font ainsi leur apparition, elle les touche, quelque fois, parce qu'elle trouve ça joli et qu'elle en est fière, et puis, personne de sa famille n'en a, ça, elle l'a bien remarqué. Lorsqu'elle sourit, ses yeux ronds et bleus s'affinent, c'est souvent fait exprès, cela dit, parce qu'il a été prouvé qu'on ne sourit vraiment que quand les yeux le disent aussi. Son nez parfait se fronce, aussi, de contentement, de colère, d'exaspération, de déplaisir, d'ennui aussi. Si jamais l'envie de sourire n'est vraiment pas présente, il reste sa démarche, gracieuse et douce - il est vrai qu'on ne l'entend pas toujours rentrer dans une pièce - comme si elle flottait. Elle n'a jamais le pas rapide, parce qu'elle n'est jamais en retard et on ne la verra jamais courir à moins que ce soit pour rire. Ses cheveux, plutôt courts et blonds, suivent le pas, et il arrive qu'elle ne se coiffe pas, plus par détachement qu'autre chose… Il est vrai qu'elle ne fait pas très attention à son physique et qu'elle respire souvent l'insouciance… au château. Chez elle, il en est tout autre, toujours tirée à quatre épingles, aucun cheveu ne dépassant de sa coiffure, et si l'absence de motivation la rend assez inconstante à Muzenn, elle, peut, au contraire, faire prendre d'une grande justesse sans sollicitation extérieure dès qu'elle en quitte les murs.
 

   


   
Sa tête

   
Description psychologique : Ça dépend.

Il s'avère qu'elle est très espiègle, continuellement tout sourire, elle n'est jamais la dernière pour se moquer et à rire des autres parce que c'est hilarant, tout simplement, et qu'elle rêve d'être une petite souris pour voir ce qui se cache derrière les grands masques vernis qu'ils portent tous pour ne pas montrer qui ils sont vraiment. Et puis, ce n'est jamais méchant, Jeanne ne raille pas pour faire mal, elle raille pour faire passer le temps, parce qu'elle a toujours beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps à revendre, et qu'elle s'ennuie très rapidement, mais on dirait que la plupart des gens à Tresadenn ont l'impression que rire est similaire à de l'impolitesse, alors… Cela dit, chez elle, elle ne rit pas souvent, ou seulement lorsqu'on le lui demande implicitement, à croire que Jeanne a une réelle qualité d'adaptation partout là où elle se faufile, elle fait seulement ce que l'on attend d'elle, après tout, et même si elle n'est pas proche de ses parents, elle tente du moins de les protéger de la dure réalité : Elle n'est pas celle qu'ils voudraient qu'elle soit, et, malgré le fait qu'elle se soit réellement émancipée d'eux, il reste quelque part une certaine tendresse à leur égard, il ne faut pas qu'ils sachent, ils seraient si tristes… Mais finalement, ça a toujours été dans son caractère, que de protéger. Jeanne a les épaules larges, elle peut tout encaisser, ça ne la dérange pas vraiment de prendre pour les autres, si les autres en question ne sauraient pas faire face à la situation. Elle, au contraire, sait se défendre, très férocement, et mentir, s'il le faut. D'ailleurs, elle le fait assez souvent, ça aide dans beaucoup de situations, de savoir mentir. Évidemment, elle ne sait pas aussi bien le faire que ceux qui en ont le réel talent, mais elle se débrouille vraiment.

Jeanne est aussi très colérique, et a du mal à contenir son énervement, à Muzenn. Elle a les mains lestes et la parole facile pour celui qui voudra lui faire mal, alors qu'à la maison, c'est là toute une autre histoire… Elle encaisse sans rien dire, hoche la tête, mais il est vrai aussi qu'elle n'a pas pris l'habitude qu'on la réprimande. Jeanne est l'honneur de la famille, et on en espère tout autant de Victoria, on la dispute rarement parce qu'en effet, il n'y a pratiquement jamais de quoi être en colère contre elle, ses parents reçoivent de bons échos avec plaisir, et font la sourde oreille sur les mauvais, parce que ce n'est pas possible, allons, Jeanne ne peut pas agir comme l'on vient de le dire, elle ne se comporte pas comme ça, à la maison, il y a forcément erreur sur la personne !

Elle ne sait pas vraiment comment elle a réussi à éviter le conflit avec ses parents en se créant cette sorte de double identité, n'a jamais cherché à en avoir une, d'abord, mais voilà qu'elle est là, c'est bien comme ça, tout le monde est content, et personne ne cherche à creuser davantage. Tant mieux, Jeanne n'aime pas ceux qui cherchent à en savoir plus. Elle est un peu hypocrite, il est vrai, à vouloir connaître les secrets des autres mais à ne pas supporter l'idée qu'un des siens puisse être révéler, mais à elle, ça lui semble logique, alors que voulez-vous...

Talent : On a tout de suite voulu la destiner à la peinture, parce que ses parents trouvaient cet Art en particulier très noble, et  Jeanne, en bonne enfant, a suivi le parcours déjà tracé, alors elle a peint, beaucoup, sans jamais savoir ce qu'elle devait faire de plus pour que ça donne autre chose que ce que ça pouvait déjà donner, sans grand résultat, rien ne la satisfaisait et elle n'allait jamais au bout, elle n'aimait pas vraiment peindre, en fait, et on l'obligeait toujours se poser devant le chevalet, et il lui arrivait d'attendre des heures devant sans savoir réellement ce qu'on pouvait attendre d'elle… À l'adolescence, on la poussa encore davantage, on lui acheta tout, en double, en triple… il fallait que ce soit encore mieux et que pour fois, elle termine, mais, comme toujours, Jeanne n'avait envie de faire que de jolies arabesques qui s'entremêlaient au milieu d'autres arabesques encore plus jolies. Sur la toile, ça ne faisait rien, mais quand elle peignait sur son bras, les écorchures et les maladies s'envolaient aussitôt que la peinture séchait.  

   


   
Test rp

   
- Bonsoir, Jeanne.
- Moi, moi, moi, c'est Boucle d'Or !
- C'est vrai, concédait Apolline Tresadenn, tu as les cheveux aussi bouclés et blonds que Boucle d'Or.
- Parce que je suis Boucle d'Or !
- Ta petite sœur aussi, alors ? Regarde-la, elle a la même chevelure que toi.

Jeanne éclata d'un rire enfantin en tirant sur les jupons de sa mère - le rire facile des enfants, avec toute la majesté de l'innocence, les yeux rieurs et fermés, tellement c'était drôle, et puis tout riait d'un coup, tout son visage, même son corps qui se pliait en deux, au niveau du ventre, ainsi que ses genoux qui fléchissait sous le poids de la phrase d'Apolline Tresadenn, sans exagération, sans aucune pudeur, parce que pourquoi en avoir ?

- Mais non, enfin ! Victoria n'est qu'un bébé !

Apolline se mit à sourire avant de lancer un regard à Marie qui en disait long, et, alors que Jeanne levait ses grands yeux bleus réjouis vers son interlocutrice, sa mère se baissa à sa hauteur, attrapa ses petites mains potelées, lui faisant lâcher ses jupes, et lui expliqua que même s'il faisait encore jour, il était l'heure d'aller dormir, parce qu'en été, une princesse va toujours se coucher avant que la lune ne fasse son apparition. Jeanne fronça les sourcils - elle n'avait pas sommeil, et elle n'avait pas envie de tourner dans son lit pendant des heures, ils fermaient toujours sa porte et les rideaux de sa fenêtre étaient si épais qu'ils ne laissaient pas la lumière passer, et Jeanne avait peur du noir, et elle avait beau pleurer, on ne voulait jamais qu'elle aille dormir dans le lit de ses parents, et il était trop tôt pour aller se coucher parce qu'il faisait encore jour, et été ou hiver, on ne dort pas quand il fait jour, même si on est une princesse, ou alors simplement en début d'après-midi, pour se reposer de la matinée et pour être éveillée tout le reste de la journée, ensuite, mais ce soir, elle n'avait pas sommeil du tout, alors non, elle n'irait pas dormir. Elle montra son refus en fronçant davantage ses sourcils, ses yeux, son nez, et en faisant non de la tête, fermement, et en croisant les bras avec force. Sa mère lui adressa un dernier sourire, et on l'attrapa par derrière pour la prendre dans les bras et l'emmener dans sa chambre, elle se mit à crier de rage, elle était trop petite pour se défendre, voilà ce que ça coûtait d'avoir seulement quatre ans.

- Tu es trop conciliante avec cette petite, Marie.

***

Deux ans plus tard, Jeanne s'était adoucie, boudait moins, aussi, parlait plus doucement, et criait bien moins fort qu'avant. Elle avait déjà appris à hocher la tête en souriant, et à ne pas ouvrir la bouche pour ne rien dire, bien que des fois, les mots sortaient tout seuls et elle ne pouvait jamais rien y faire pour les rattraper. C'était une fierté. Son père l'appelait sa Fierté, d'ailleurs, et Jeanne souriait très fort et de manière totalement exagéré parce que c'était si doux, à ses oreilles, de se savoir la Fierté de quelqu'un. De son père, en plus ! Lui qui n'adressait de sourire à personne, sinon à elle et à sa soeur et à sa mère ! N'était-elle pas unique ? N'était-elle pas exceptionnelle ? N'était-elle pas supérieure aux autres ? Évidemment que si, Jeanne le voyait bien, que ses parents la regardaient différemment des autres enfants  qui jouaient avec elle - sauf pour Faustine, Faustine, elle, était également une Fierté. Alors, Jeanne dansait, tournait sur elle-même, souriait à tout va, gracieuse et charmeuse, lorsqu'elle sentait un regard sur sa personne. Il fallait que les gens soient fiers d'elle et qu'ils aient tous le souffle coupé en la regardant. Comment pouvaient-ils rester indifférents, quoi qu'il en soit ? Jeanne était toujours apprêtée parfaitement et ses cheveux étaient toujours divinement coiffés.

- Vois-tu cette veine, Jeanne, juste derrière ton poignet ?
- Oui ! Elle est bleue, mais je n'ai pas le sang bleu, moi ! Quand je me coupe, il n'y a que du sang très rouge !
- Non, tu as le sang rouge, et c'est bon signe, qu'il soit très rouge, petite princesse, mais ce n'est pas ce que je voulais te dire.

Jeanne écarquilla les yeux, alors que la sens du sourire d'Apolline Tresadenn lui échappait.

- Et bien, Jeanne, dans cette veine bleue, il a du sang rouge, et dans ce sang rouge, il y a un peu de mon sang à moi.
- Comment c'est possible, ça ?
- Et bien, ma chérie, parce que tu es une Tresadenn, toi aussi, tu le sais, ça, n'est-ce pas ? Jeanne hocha la tête, ça, elle le savait. Et tu es aussi l'enfant D'Outreleau, alors tu as presque le même sang que le mien, parce que la famille D'Outreleau est une très jolie famille, presque aussi jolie que la mienne, alors ton sang est aussi joli, presque aussi joli que le mien.

Ce soir-là, Jeanne D'Outreleau se promit d'avoir le sang le plus joli du monde, plus tard.


***

Jeanne poussa une grande exclamation de joie, en fermant fort les yeux avant de se retourner vers le jardin pour courir aussi vite que possible. Il avait du vent, ce jour-là, et ses cheveux partaient dans tous les sens, et sa robe n'arrêtait pas de se soulever et de claquer violemment contre ses genoux, mais elle était portée par les bourrasques, aujourd'hui, elle aurait pu les dessiner du doigt, tellement ils étaient forts, et ils la poussaient pour rejoindre les balançoires et annoncer la bonne nouvelle à Faustine.

- Tu peux dormir ici, maman a dit oui !

Faustine se releva lentement de la balançoire pour adresser un sourire à Jeanne.

- On va pouvoir dormir dehors !
- Je ne sais pas trop… Émile a dit qu'il y avait des loups, ici.
- Émile raconte n'importe quoi !

Faustine se mit à réfléchir… Jeanne avait raison. Émile mentait assez souvent, et surtout à sa grande soeur.

- On pourrait se faire piquer par des araignées !

Jeanne pouffa de rire.

- Tu n'as qu'à rugir devant elles, et elles auront peur, et elles ne te piqueront pas !
- Tu dis des bêtises.
- Allez, Faustine, s'il te plaît, s'il te plaît, s'il te plaît ! On dormira dans une tente, ce sera trop génial ! T'auras un duvet rien que pour toi comme ça tu ne pourras pas dire que je te vole la couverture ! Et je bougerai pas trop, je ferai attention, je promets ! Et on se mettra dans une endroit où je sais qu'il n'y a pas d'araignées, ni de fourmis ! C'est le carré d'herbe spécial, tu sais, juste à côté de notre petite maison !
- … Il y a plein d'araignées, à cet endroit.
- Mais noooon, l'autre coin spécial, celui de l'autre côté de la petite maison !
- Jeanne, il y a des araignées de partout autour de cette maison !
- Elles te piqueront pas ! Je leur dirai de ne pas te piquer !
- Les araignées, ça n'écoute pas !
- Alors je rugirai !

Faustine souffla bruyamment.

- Si je me fais piquer, je demande à maman de venir me chercher tout de suite.

Jeanne éclata de rire en tournant sur elle-même.
Plus tard dans la soirée, Jeanne et Faustine étaient allongées chacune dans leur duvet, à l'abri du vent dans leur tente. Faustine, concentrée, faisait des petites tresses dans la chevelure de Jeanne, qui, toujours en mouvement, tapait du pied contre son matelas en chantonnant une chanson entendue la veille, et puis, d'un coup, le chaos. Il y eut le hurlement de Faustine, d'abord, paniqué, et celui de Jeanne, ensuite, de douleur cette fois-ci. Dans l'action, Faustine se leva d'un bond, défaisant tout ce qui avait pris une heure à mettre en place. Jeanne se remit de la douleur, et des cheveux arrachés, et attrapa l'araignée qui montait, montait, montait sur la couverture de la petite Tresadenn, entre ses doigts et la jeta en dehors de la tente. Il fallut quelques dizaines de secondes à Faustine pour se rasseoir dans son duvet, puis pour s'allonger.

- Je te déteste.

Et Jeanne éclata de rire, et Faustine recommençait déjà à sourire, alors...


***

- Je suis important pour toi ?
- Plus que n'importe qui ! Pourquoi tu me poses cette question ?
- Parce que tu veux jamais aller chez toi avec moi.
- Et bien c'est… On n'est pas obligés d'aller chez moi, c'est tout.
- Moi, j'aimerais bien voir où tu habites.
- Et moi, je préfère marcher dehors !
- Sérieux, Jeanne, c'est quoi le problème ?
- Il n'y a pas de problème ! C'est juste qu'on est jamais tranquille, chez moi, il y a toujours du monde.
- Chez moi aussi, il y a toujours du monde, mes parents, mon frère et ma sœur, toujours des cousins et des cousines, et ça te pose pas de problème !
- Ce n'est pas pareil.

Et elle avait insisté, parce que vraiment, ce n'était pas pareil.

- Okay, j'ai compris, c'est bon.
- Julien !
- Non, ça va, laisse tomber.
- Allez, arrête !
- Non, toi arrête. Tu veux pas me faire rentrer chez toi, c'est bon, j'ai compris le message. T'aurais pu le dire clairement tout de suite.

Elle se pinça les lèvres, navrée, alors qu'il tournait la tête dans sa direction opposée.

***

- Victoria, tu m'ennuies.
- Allez, joue avec moi !
- Je parle déjà avec Faustine.
- Je pourrais parler avec vous !
- VA T'EN !

Le cri de Jeanne fit sursauter Victoria, et elle baissa les yeux dans la seconde, faisant un pas en arrière. Sa grande sœur se leva du lit, menaçante, alors que Faustine regardait la scène se passait devant elle, imperturbable, assise sur son fauteuil. Victoria tenta un regard empli de colère, mais Jeanne ouvrit la bouche de nouveau, prête à hurler encore, plus fort cette fois-ci, et il n'en fallut pas plus pour que sa cadette sorte de sa chambre. Jeanne ne la vit pas pleurer.

- Tu as été vraiment dure, avec elle.
- Et bien tu n'as qu'à aller la consoler.
- J'aimerais que t'arrêtes de me parler froidement alors que je t'ai absolument rien fait.
- Et moi j'aimerais que Victoria soit moins collante, qu'on comprenne ce que je pense sans même que j'ai besoin de le dire à haute voix, j'aimerais que les choses soient plus simples, mais comme tu le vois, on ne peut pas tout avoir.


   


   
Autre

   
Rien de particulier, à vrai dire, si ce n'est cette manie de toujours toucher le bout de son nez lorsqu'elle est très concentrée.

   


   
Et vous ?

   
Comment avez-vous connu Muzenn ? Merci Swyn, pour faire dans le redondant !
   
   
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Iestin Cabedoce
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Iestin Cabedoce

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Age : 99
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MessageSujet: Re: Jeanne D'Outreleau   Jeanne D'Outreleau EmptyDim 2 Fév 2014 - 21:21

Bienvenue chez toi I love you

Validé.
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Jeanne D'Outreleau

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